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29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 10:04

Pour la première fois, le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) a mis en ligne les « Atlas régionaux de la démographie médicale ». Ces 23 documents (les 22 régions métropolitaines et les DOM-TOM) complètent le rapport annuel du CNOM sur l’évolution de la démographie médicale. Ils proposent un état des lieux de l’évolution des effectifs de médecins entre 2008 et 2009 à l’échelle régionale et départementale. Le CNOM dit avoir voulu apporter sa contribution à la mission d’organisation de l’offre de soins des Agences Régionales de Santé officiellement entrées en activité le 1er avril 2010. 

Télécharger l’Atlas Santé Midi Pyrénées ici

Source : Article Hervé Dagand pour ETD – Projet de territoire : Rubrique « Services à la population » lien 


 

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29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 10:00

Afin de faciliter la connaissance du territoire par ses acteurs, le GAL Quercy Rouergue s'est doté au cours du 1er trimestre 2010 de deux nouveaux outils :

     - Un portrait de territoire statistique réalisé par l'INSEE

Suite à la publication des résultats du recensement INSEE 2006, le GAL a fait réaliser un portrait de territoire sur les 143 communes qui composent son périmètre afin de pouvoir évaluer les grandes tendances et évolutions socio-économiques du territoire.

  

Télécharger le Portrait de territoire Quercy Rouergue - source INSEE

 

     - Le territoire Quercy Rouergue en cartes

Communes, cantons, communautés de communes, hydrologie, axes de communication, intérêts touristiques et culturels... autant de thématiques traitées à travers les cartes réalisées pour le GAL.

Télécharger les cartes réalisées par AZAM pour BicGraphic-Copyright2009 - Cantons et Pays, Communautés de communes et communes, Hydrologie/Géologie/Bois, Entités paysagères, Axes de communication, Points d'intérêt touristique.

 

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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 10:44

logo pays ruthénoisPrès d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre émane des transports. Une voiture récente rejette ainsi plus de 3.5 tonnes de CO2 par an. Pourtant, une analyse prouve que la voiture particulière est le moyen de déplacement utilisé à plus de 90% sur le territoire du Pays Ruthénois.

Face à ce constat environnemental et aux difficultés de déplacements rencontrées sur les territoires ruraux, les élus du Pays Ruthenois (Aveyron) ont souhaité répondre en mettant à la disposition des habitants un site Internet gratuit de covoiturage : www.covoiturage-aveyron.fr

Ce site, assorti d’une plateforme téléphonique 08 111 300 60, permet à toute personne souhaitant covoiturer de proposer un trajet en tant que conducteur ou d’effectuer une demande en tant que passager. 

site covoiturage

La conception du site a été confiée à Greencove Ingénierie, il sera rattaché au site national de Greencove : www.123envoiture.com

Son lancement a fait l’objet d’une importante campagne de communication en mars et septembre 2009, à travers de nombreux supports de communication : spots radio, presse écrite, affichage urbain, bord de route, tracts, publicité dans les lieux publics…

 


Cette initiative ayant participé au développement du co-voiturage sur le territoire, l’aménagement et la signalisation d’aires de co-voiturage dans le but de réguler le stationnement des usagers devraient permettre  d’améliorer la pratique en la sécurisant et en donnant des points de rendez-vous précis aux co-voitureurs.

 

Pour information, une initiative similaire s’était développée il y a quelques années en Quercy Rouergue, à travers le site internet www.locomobil.fr porté par un partenariat entre les PIJ de Villefranche, Montbazens, Figeac et l’association. Un rapprochement éventuel avec le projet du pays Ruthénois est aujourd’hui en réflexion.

Pour tout renseignement, vous pouvez contacter  :

Pays Ruthénois

Tel : 05 65 73 61 70

Mail : contact@pays-ruthenois.fr

Site : www.pays-ruthenois.fr



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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 10:18

DSCF3705
Engagé dans des actions de coopération avec d’autres territoires ruraux européens depuis 2006, le GAL Quercy Rouergue a eu l’occasion d’étendre encore ses relations internationales en accueillant le 1er décembre dernier une délégation russe de conseillers du gouverneur et de membres de l’administration de la région de Tambov, au Sud de Moscou.

 
Cette rencontre s'est inscrite dans le cadre d’un projet initié en 2007 entre le Ministère de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche et, l’Agence de Services et de Paiement et la Région de Tambov en Russie. La coopération a pour objet l'accompagnement de la région de Tambov dans la mise en place d’une politique de développement durable de ses territoires ruraux en vue de renforcer leur attractivité.  Le déplacement en France doit permettre d’illustrer le contexte et les moyens avec lesquels les politiques de développement locales ont été initiées dans  des territoires français ayant des problématiques similaires.

 

Accompagnée de représentants du Ministère et de l’Agence de Services et de Paiement, la délégation a tout d’abord été reçue à Figeac par le Président et des membres du GAL pour une matinée d’échanges autour des politiques de Pays, illustrée par l’intervention de Sophie ROUDIL, Coordinatrice du Pays Rouergue Occidental, et autour du programme Leader Quercy Rouergue.

 

Après un déjeuner au restaurant de la Halle à Fons qui leur a permis de découvrir notre gastronomie locale, l’après-midi a été consacrée à 3 visites de terrain autour de démarches de production agricole, de transformation et de commercialisation de proximité.

 

tambov1209 0024C’est à Espeyroux, sur l’exploitation agricole « Lou Secadou », que Serge COUDERC a présenté son élevage porcin, son point vente de charcuteries fermières ainsi que le réseau « Escapades Gourmandes » qui propose des visites et des animations estivales sur quelques fermes du territoire. Puis, il a accompagné le groupe à St Céré pour la visite de l’atelier de transformation, monté en association avec d’autres agriculteurs du territoire.

 


P1090111Enfin, la journée s’est achevée par la visite du rayon « Sens du terroir »,  mis en place par la coopérative SICASELI au Gamm Vert de Figeac, espace de vente réservé à la promotion des produits du terroir, garantissant aux producteurs locaux la valorisation de leurs produits et aux consommateurs, l’achat de produits issus de l’agriculture locale.

 

 

C’est avec de nombreuses idées que sont repartis nos hôtes russes, qui nous ont assuré de leur intérêt pour les initiatives des acteurs du Quercy Rouergue et avec lesquels nous ne manquerons pas de rester en contact pour des échanges et rencontres futures!

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5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 11:34

Depuis 2006, le GAL Quercy Rouergue a engagé dans le cadre du programme européen Leader, un projet de coopération transnationale avec un territoire Allemand de la Région du Brandebourg : le GAL Elbe-Elster.

Une délégation française composée de représentants du GAL, du GEIQ BTP 46 et de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Aveyron a été accueillie en Juin 2008 les acteurs de ce territoire, et une réflexion sur la thématique des groupements d’employeurs a été engagée.

Les 26 et 27 Mars dernier, le GAL Quercy Rouergue a eu l'honneur d’accueillir à son tour le GAL Elbe Elster. 


Au programme :

 

Jeudi 26 Mars : Journée d’accueil sur Figeac :

-       Présentation des territoires, acteurs et programme Leader des GAL français et allemands

-       Visite de la Maison Commune Emploi Formation de Figeac

-       Table ronde sur le thème de l’emploi, la formation, l’apprentissage et la reprise-transmission d’entreprises

-        Visite de l’antenne figeacoise de l’Association Auto-Insertion Lotoise

 

Vendredi 27 Mars : Journée sur le Bassin Decazeville-Aubin :

-       Matinée de travail consacrée aux groupements d’employeurs : GEIQ BTP 12 et 46, GEIQ Multisectoriel et Groupements d’Employeurs Agricoles…

-       Visite de la pépinière d’Entreprise Chrysalis

-       Présentation de la reconversion industrielle du Bassin Decazeville-Aubin et de l’organisation économique de ce territoire

 

Ces deux journées d’échanges ont permis de définir des thématiques de coopération envisageables entre ces deux territoires et les actions communes qui pourraient être mises en œuvre dans le cadre du programme Leader 2007-2013.

A noter que la coopération est un axe important de la stratégie 2007-2013 du programme Leader Quercy Rouergue ; l’émergence d’échanges et l’ouverture du territoire sur d’autres expériences constituant une source majeure pour enrichir nos démarches de développement local.

Un compte rendu détaillé de cette rencontre ainsi que tous les supports de présentation des partenaires ayant participé aux deux journées d'échanges sont consultables en ligne!
CR_26_27mars09.pdf CR_26_27mars09.pdf
Presentation-Territoire-QR-26.03.09.pdf Presentation-Territoire-QR-26.03.09.pdf
Presentation-Leader-IV-QR-26.03.09.pdf Presentation-Leader-IV-QR-26.03.09.pdf
Plaquette-Lot-Initiatives-Artisanat.pdf Plaquette-Lot-Initiatives-Artisanat.pdf
Apprentissage-CMA-26.03.09-12.pdf Apprentissage-CMA-26.03.09-12.pdf
Presentation-GEIQ-BTP-12-27.03.09.pdf Presentation-GEIQ-BTP-12-27.03.09.pdf
Presentation-GEIQ-Multisectoriel.pdf Presentation-GEIQ-Multisectoriel.pdf

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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 22:37

De l'appel à projet à la signature de la convention... 

 

Cadre national de l'appel à projet

 

Voici le cadre méthodologique national de l'appel à projet Leader 2007-2013 (certains points sont à adapter en région). Il s'agit des grandes lignes attendues dans le contenu des candidatures. 

Les appels à projet Leader sont régionaux ; pour Midi-Pyrénées, son lancement officiel sera effectif prochainement. 
A suivre sur le blog...

 

 

Appel à projet Leader en Midi Pyrénées

 

L'appel à projet LEADER en Midi-Pyrénées vient de paraitre !
Pour le consulter, cliquer ici :   

Le Comité de Pilotage "Candidature" se réunira le 26 novembre prochain pour valider la stratégie (issue des différents groupes de travail diagnostic/enjeux et de l'analyse croisée de l'équipe technique GAL/Pays).
De nouvelles réunions de travail seront organisées en fin d'année et début d'année prochaine avec les acteurs locaux pour consolider le plan de développement Leader. et ainsi pouvoir déposer la candidature dans les meilleurs conditions.

N'hésitez pas à réagir, le GAL est à votre disposition pour toute question relative à cet appel à projet et à la candidature.

 

 

Préparation de la Candidature

 

Réunion du 11/09/2007

Les premières réunions de travail ont été engagées dans le cadre de la candidature à l'appel à projet LEADER 2007-2013 !

Un diagnostic de territoire est en cours de réalisation sur le Quercy Rouergue afin de déterminer les enjeux du futur programme Leader. Celui-ci est réalisé de manière participative, ainsi, le groupe de travail "agriculture et environnement" s'est réuni à la mairie de Capdenac-Gare le mardi 11 septembre 2007.
 
Cliquez sur le lien suivant pour le compte-rendu de cette réunion   

  N'hésitez pas à faire part de vos remarques, commentaires et observations diverses et variées.

IMGP0560.JPG

Mardi 11 septembre 2007 - Capdenac-Gare

 

 

Réunion du 18/09/2007

Le groupe de travail "Economie rurale et qualité de vie" s'est réuni le mardi 18 septembre à la mairie de Capdenac-Gare.

Le compte-rendu est disponible en cliquant ici :  
Nous vous invitons à laisser vos commentaires et remarques diverses.

La prochaine réunion "candidature Leader 2007-2013" se tiendra le mardi 2 octobre à 18h00 à la Maison de la Formation à Figeac. L'objet de cette réunion sera de faire la synthèse et de hiérarchiser les enjeux pour le futur programme Leader.

 

IMGP0593.JPGIMGP0606.JPG











                                                                Mardi 18 septembre 2007 - Capdenac-Gare

 

 

Réunion du 02/10/2007

Les acteurs du territoire ont eu à nouveau rendez-vous le mardi 2 octobre à la Maison de la Formation à Figeac. Cette réunion avait pour objet de continuer à travailler sur la préparation de la candidature à l'appel à projet Leader 2000-2007. Cette rencontre s'est déroulée en deux temps :

- synthèse des deux premières réunions ("Agriculture-Environnement" et "Economie rurale-Qualité de vie") sous la forme d'un tableau "Atouts-Faiblesses-Opportunités-Menaces"

- présentation des enjeux du territoire et élaboration de pistes d'actions concordant avec chacun des enjeux (les participants, environ une soixantaine, se sont divisés en 4 groupes de travail)

Un compte-rendu est disponible en cliquant ici : 

Attention : celui-ci est sommaire et va faire l'objet d'un travail technique de mise en forme dans les prochaines semaines. Cet exercice permettra ensuite de formuler une/des priorité(s) ciblée(s), qui seront soumises au prochain "Comité de Pilotage Candidature".
Les participants de toutes ces réunions seront à nouveau consultés dans les semaines et mois à venir pour la préparation du plan de développement et du programme d'actions Leader.
A bientôt !

 

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Stratégie Leader Quercy Rouergue - Novembre 2007

 

Le Comité de Pilotage "Candidature" s'est réuni le 26 novembre dernier et a validé la stratégie globale de développement du futur programme Leader. Elle est issue des différents groupes de travail diagnostic/enjeux et de l'analyse croisée de l'équipe technique GAL/Pays Est Quercy/Pays Rouergue Occidental. Elle repose sur les "échanges et solidarités entre acteurs du Quercy Rouergue face aux mutations du monde rural", à travers  5 "dispositifs" qui pourront constituer les axes du futur programme pour notre territoire, eux même déclinés en grands objectifs :

- Favoriser le maintien des jeunes sur le territoire
Favoriser l’intégration des jeunes (16-25 ans) dans la vie du territoire 
Renforcer leur attachement au territoire

- Encourager l’accueil de nouveaux arrivants
Organiser une promotion commune du territoire, de ses atouts et de l’ « offre de vie »
Structurer l’accueil sur le territoire en proposant des modes et des moyens d’accueil adaptés à la demande des nouveaux arrivants
Favoriser l’intégration des nouveaux arrivants dans la population locale
Accompagner les nouveaux arrivants dans la construction de leur projet de vie sur le territoire

 - Accompagner l’évolution du métier d’agriculteur et assurer sa pérennité       
Revaloriser le métier d’agriculteur
Mettre en relation l’agriculture et le tourisme
Valoriser l’activité agricole d’entretien du paysage et accompagner la prise en acompte de l’environnement à travers des approches agro-environnementales concertées
Développer l’activité de vente directe et les initiatives visant à favoriser les circuits courts
Soutenir le développement de la filière bois


- Fédérer les acteurs économiques du territoire     
Rendre les entreprises (notamment les TPE) du territoire plus compétitives et pérennes grâce à une organisation concertée

- Proposer une offre en services coordonnée, équitable et pérenne
Favoriser la mise en place d'une gestion coordonnée des services à la population (en matière de petite enfance, mobilité, santé, culture...)


Parallèlement aux réunions techniques que le GAL et les Pays vont tenir prochainement, nous vous invitons à envoyer par mail au GAL (gal.quercyrouergue@wanadoo.fr) vos contributions écrites concernant les 5 axes de travail : types d'actions, exemples de projets, objectifs à renforcer, opérations à venir...
N'hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations.

 

 

Préparation de la Candidature - Phase de validation 02/2008

 

Les acteurs du territoire ont validé le dossier de candidature LEADER 2007-2013. Suite aux différentes réunions techniques tenues en décembre 2007 et janvier 2008 avec les partenaires (sur les thèmes des différents axes du plan de développement), le Comité de Pilotage "Candidature" s'est réuni le 4 février dernier pour apporter les derniers ajustements. Ensuite les instances Pays et GAL se sont réunies courant février pour valider chacun ce dossier de candidature :
- le Pays Rouergue Occidental lors de son Assemblée Générale du 6 février
- le Pays de Figeac, du Ségala au Lot-Célé (anciennement Pays Est Quercy) lors de son Assemblée Générale du 22 février
- le GAL Quercy Rouergue lors de son Assemblée Générale du 28 février

L'équipe technique du GAL rassemble actuellement les dernières pièces avant le dépôt du dossier complet dans les toutes prochaines semaines auprès de la Direction Régionale de l'Agriculture et de la Forêt Midi-Pyrénées (date limite fixée au 25 avril).
La séléction des candidatures se fera en juillet.
Le dossier de candidature sera consultable prochainement.

 

 

Dossier de candidature - 04/2008

 

La candidature à l'appel à projet régional LEADER 2007-2013 a été déposée par le GAL Quercy Rouergue le 25 avril dernier auprès des services de la Direction Régionale de l'Agriculture et de la Forêt Midi-Pyrénées.
Selon le calendrier indiqué, la sélection des GAL sera connue dans le courant du mois de juillet.


 

La candidature Leader Quercy Rouergue retenue! - 09/2008

 

La candidature à l'appel à projet régional LEADER 2007-2013, déposée le 25 avril dernier, a été approuvée par le Comité Régional de Sélection qui s'est réuni le 24 juillet. Désormais il reste à accomplir un travail technique important pour aboutir fin novembre à la signature de la convention entre le GAL, l'autorité de gestion et l'autorité de paiement.

 

 

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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 16:54
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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 16:53


Concilier bien-être des habitants et diminution de l’impact de leurs activités sur l’environnement, est-ce une utopie pour les petites communes ?
Pionnières le plus souvent, elles doivent rechercher des solutions administratives, techniques et financières, parfois durant des mois, voire des années.
Alors elles inventent des solutions, innovent et préfigurent le visage de ce que pourraient être les villages de demain. Enquête…


Sortir du lotissement « tablette de chocolat », éloigner les places de stationnement des habitations, imposer la cuve de récupération d’eau, bannir le PVC et exiger le bois pour les portes et fenêtres… Même si les Français se disent de plus en plus sensibles aux questions environnementales, les réticences surgissent dès que l’on change quelques habitudes bien ancrées. Constatant que, le plus souvent c’est la méconnaissance des solutions alternatives qui engendre cette méfiance, avant d’engager quoi que ce soit, certains maires consultent et informent systématiquement la population locale. « Pour chaque projet, nous organisons des réunions publiques, explique Joël Labbé, maire de Saint-Nolff, commune morbihannaise de 4 000 habitants, inscrite dans la démarche de l’Agenda 21. J’essaie de sensibiliser les habitants aux enjeux du projet qui va être mené, de les faire réfléchir sur les cohérences dans leur vie de tous les jours. » Seulement, communiquer, c’est « se mettre à nu » devant la population, selon Pascal Coste, maire de Beynat (1 178 hab.) en Corrèze, conseiller général et président de l’association Notre Village. Selon lui, pour que le message passe, les élus concernés ont intérêt à être déterminés et clairs sur leurs objectifs.
Pour réfléchir et mettre en place leurs actions, la majorité des collectivités sollicite le soutien des Conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE), de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (l’Ademe, qui a initié l’Approche environnementale de l’urbanisme ou AUE 1), d’associations locales d’informations sur les énergies, voire de cabinets de consultants ou encore de l’association Notre Village. Les nouvelles équipes municipales semblent particulièrement sensibles à ces questions de développement durable. C’est ce qu’a remarqué Bruded, une association bretonne créée par des collectivités écocitoyennes qui a vu le nombre de ses adhérents doubler en 2008 2.

La convivialité d’abord !

Ces villages de demain apportent une attention particulière à l’urbanisme. Souvent l’élaboration ou la modification de leur plan local d’urbanisme (PLU) est le point de départ d’idées nouvelles. Exit, les lotissements « labyrinthes », sans services, sans espaces verts et de vie, ou encore, situés à plus d’un kilomètre du bourg. Préoccupations environnementales et convivialité vont de paire. La mixité est le maître mot d’une bonne partie des projets d’écolotissements ou d’écohameaux : mixité dans le type de voies de circulation, d’habitations, d’occupants et d’activités.
Dans ces projets, les parcelles se font plus petites, de 300 à 700 m2 (350 m2 à Saint-Nolff par exemple) en moyenne contre, 700 m2, voire 2 000 m2 selon les régions dans des lotissements plus conventionnels, pour laisser place à des espaces communs de vie : jardins familiaux (mis à disposition gratuitement par la mairie de Saint-Nolff), espaces de jeux pour les enfants, venelles non goudronnées pour circuler à pied ou à vélo dans le lotissement et rejoindre le bourg, places de stationnement des véhicules regroupées à quelques pas des habitations souvent mitoyennes. « Dans notre projet d’écocité du Pré Vert, qui comprendra 120 logements dont 30 % en locatif, les stationnements ne seront jamais à plus de 60 mètres de la maison, précise le maire de Saint-Nolff. Le cheminement piéton qui rejoindra les habitations, permettra de croiser et donc de connaître ses voisins. » Son souhait est de se rapprocher d’une ambiance de bourg. À Chanu, village de l’Orne de 1 200 âmes, un projet d’écohameau inclut une zone naturelle (à côté de 6 parcelles accessibles en propriété et de 4 logements locatifs) déjà plantées d’arbres fruitiers qui permettront aux gourmands de se retrouver. Les habitants pourront aussi rejoindre le bourg via une liaison piétonne. La commune des Adrets (840 hab.), en Isère, lance quant à elle un programme d’accession à la propriété sociale (16 logements en petits collectifs) et prévoit sur le même site la construction d’une halte-garderie, 280 m2 de locaux d’activités économiques et 13 lots privés pour des habitations individuelles, le tout relié au village (commerce, école…) par un cheminement piéton en complément de la route.

Des règles à respecter

Les règlements des lotissements permettent d’imposer ou d’inciter les particuliers au respect de quelques règles de construction cohérentes avec les projets municipaux : chauffe-eau solaire, exposition plein sud, mitoyenneté, isolation, économie d’énergie, absence de garage, essences locales dans les haies… À Cransac-les-Thermes dans l’Aveyron (un peu moins de 2 000 habitants), le règlement du futur lotissement « durable » (13 lots de 540 m2 à 2 600 m2) inclut des recommandations sur l’énergie (incitation à se raccorder au réseau de chaleur bois) et les performances thermiques des habitations, et sur la récupération de l’eau de pluie pour l’arrosage ou le lavage des véhicules. Le règlement de Chanu interdit les accès en enrobé et en matériaux imperméables, les habitations sont sans sous-sol, ne doivent pas dépasser 9 mètres de hauteur et doivent inclure la pose d’un récupérateur d’eau. De manière générale, au-delà des textes réglementaires, les maires rencontrent le plus souvent préalablement les futurs propriétaires pour leur expliquer la démarche et les raisons de ces contraintes. C’est ce qu’a fait Marcel Audiau, maire de Forges dans le Maine-et-Loire (200 habitants) pour un lotissement dont les constructions ont débuté et dont le projet s’inscrit dans une démarche AUE. Sur une centaine de personnes rencontrées, seule une vingtaine a adhéré finalement au projet, les autres ont été freinés, semble-t-il, pour des raisons plutôt financières.

La mixité avant tout

Dans ces nouveaux quartiers, la mixité sociale est recherchée pour différentes raisons : renouvellement des générations, convivialité… Elle se traduit par un mélange de logements locatifs, de petits collectifs, de parcelles en accession à la propriété, mais aussi de locaux d’activités économiques, comme c’est le cas à Cransac. Le plan d’urbanisme de son futur lotissement durable est tout en rondeurs et mêle habitats groupés et individuels. À Saint-Nolff, tout est mis en œuvre pour intégrer en douceur les nouveaux habitants et notamment les jeunes. Aux mains de promoteurs privés soucieux de rentabilité rapide, les terrains seraient trop vite construits amenant un flux de population trop important par rapport aux services de la commune et notamment aux capacités d’accueil des écoles… Via des opérations publiques comme les zones d’aménagement concertées (Zac), la commune use de son droit de préemption pour acheter les terres et les revendre à des prix abordables pour les jeunes du territoire. Cette stratégie lui permet de « phaser » son développement et d’augmenter progressivement sa population. Et pour les jeunes aux revenus modestes désireux d’habiter la future écocité, le maire souhaite travailler avec les banques pour qu’elles prennent en compte les réductions des charges courantes (chauffage, eau, électricité) des nouvelles habitations durables dans l’attribution des prêts.
À Thégra (500 habitants) dans le Lot, commune engagée dans un Agenda 21, on a aussi pensé mixité générationnelle. Après avoir construit 12 pavillons HLM (dotés de cuves de récupération d’eau), une nouvelle école (intercommunale), une bibliothèque et une garderie, le village s’est lancé dans l’aménagement d’un hameau intergénérationnel. Il comportera une douzaine de logements regroupés par 3, qui accueillera à la fois des jeunes couples et des personnes âgées. « Nous souhaitons que se crée une entr’aide entre ces habitants, pour faire les courses par exemple », explique Thierry Chartroux, maire. Les habitants et les futurs locataires vont être associés à la réflexion sur le projet. Une petite salle commune a été construite pour favoriser les rencontres entre les habitants du hameau, des jeux de plein air communs seront bientôt installés. « Nous voulons associer les habitants aux projets du bourg. Une commission communale sur le développement durable s’est d’ailleurs constituée, composée d’habitants et d’élus. » Autre exemple, une école HPE (label Haute performance énergétique) a ouvert à Beynat avec panneaux photovoltaïques, géothermie, briques mono-murs… Papys, mamies et enfants du village avaient été invités en amont à imaginer et dessiner cette école.
En Aveyron, à Saint-Jean-d’Alcapiès (218 habitants), la réflexion sur une nouvelle salle polyvalente positive en énergie a débouché sur la construction d’une maison des énergies renouvelables. À côté de la grande salle festive, une annexe est consacrée à la promotion des énergies renouvelables ouverte au grand public : chaudière bois dont le local est en parois de verre, 200 m2 de panneaux photovoltaïques, briques mono-murs, récupération de l’eau de pluie, isolation en laine de mouton…

Transports peu communs en commun

Côté transport, en dehors des cheminements pédestres et cyclables, certaines communes souhaitent offrir plus de services à leurs habitants. Saint-Nolff se bat pour demander une halte ferroviaire sur la ligne Paris/Quimper qui passe sur son territoire. Quant au covoiturage, c’est le département du Morbihan qui s’en charge via un site Internet et la construction de plateformes. Aux Adrets, trois conducteurs ont spontanément organisé du covoiturage en destination de la vallée proche.
La commune de Cransac, comme les villages voisins, est desservie sept fois par jour par un bus de la communauté de communes dont elle dépend (Decazeville-Aubin). Les habitants peuvent l’utiliser pour 4 euros par mois et 0,20 euro le voyage. Le bus fait le plein, il est devenu un vrai lieu de rencontres. Pourquoi ne pas voyager en bateau-taxi ? Ce service de transport collectif et gratuit pour les usagers (11 personnes à la fois) a été créé sur le lac de Vassivière dans le Limousin en 2008. De juin à septembre, un simple coup de fil d’un des 9 pontons desservis, suffit pour que l’un des deux bateaux vienne vous chercher. 6 500 personnes, touristes et habitants, l’ont emprunté l’an dernier 3.
Le cheval fait aussi son entrée. Depuis 1993, Saint-Pierre-sur-Dives dans le Calvados (3 900 habitants) utilise une voiture hippomobile pour ses services techniques : vider les poubelles municipales, transporter du matériel, ramasser les feuilles mortes… Depuis quelques mois, Pola, une Percheronne de 3 ans, emmène gratuitement les enfants à l’école maternelle (deux circuits d’une vingtaine de minutes et d’une douzaine d’enfants chacun). Une partie d’entre eux habite des quartiers excentrés. Ils devaient auparavant prendre un bus dès 8 heures du matin pour se retrouver dans des garderies surchargées. Grâce à Pola, ils peuvent dormir plus longtemps. Utilisé l’été pour les visites touristiques de la ville, l’investissement est rapidement amorti. Trois employés municipaux (détenteurs de leur « Galop 7 » indispensable pour conduire un attelage), dont deux à mi-temps, s’en occupent. Selon la Sellerie Baude 4, à Bourg-de-Péage (26), qui commercialise des hippomobiles pour le ramassage des ordures ménagères, les communes, qu’elles soient petites ou grandes, commencent à s’intéresser à ce type de produit, qui peut s’avérer rentable notamment dans les hypercentres. Par exemple pour le transport scolaire, il faut compter environ 7 000 euros pour l’achat du véhicule (équipement de 20 enfants, avec sièges escamotables pour d’autres utilisations). Il faut ajouter l’achat du cheval (entre 3 000 et 5 000 euros), de son équipement (1 000 à 1 500 euros), de son logement, de sa nourriture et le temps d’une personne pour s’en occuper…

Compostage collectif et recycleries

Le compostage et le tri sélectif progressent. Mais on connaît moins le compostage collectif. Depuis 2002, les habitants de Saint-Philbert-de-Boulaine en Vendée (2 800 habitants), apportent leurs déchets putrescibles sur une plateforme communale ouverte trois jours par semaine. Un maître composteur les accueille, pèse l’apport et l’enregistre sur une carte de fidélité. Il surveille la fermentation et les agriculteurs d’une Cuma 5 locale retournent le compost toutes les trois semaines en moyenne. Quelques mois plus tard, avec l’aide de bénévoles, le compost est redistribué (trois fois par an) aux particuliers en fonction de leurs apports. Soutenue dans cette initiative par le syndicat mixte Montaigu-Rocheservière (maître d’ouvrage et financeur sur le site : www.explomr.com), par l’Ademe et le conseil général, la commune a pu diminuer la quantité d’ordures ménagères de ses habitants. Cette action accompagne une dynamique plus large, mise en place sur le territoire du syndicat depuis 2001 (via une redevance incitative sur déchets ménagers). Les camions poubelles ne passent désormais que 2 fois (au lieu de 4) par mois.
Et pour réduire un peu plus le tonnage des déchets, pourquoi ne pas constituer une recyclerie ? Le principe est de trier et de récupérer les encombrants ménagers et les déchets industriels banals afin de les réparer, de les démonter ou de les dépolluer. Le réseau des recycleries-ressourceries 6 compte une cinquantaine d’adhérents, qui représentent un nombre croissant d’emplois…


Des noyaux d’abricots pour combustible

Principal facteur de pollution, la question de l’énergie est présente dans une majorité des projets. Et là, pas question de se tromper. Les investissements peuvent être importants. L’option prise par Cransac, qui souhaite chauffer les bâtiments publics (3 écoles, salle des fêtes, salle de sport, local jeunes…) et les habitations de son futur lotissement par un réseau de chaleur, est originale. Les noyaux des abricots et des pêches issus d’une usine de transformation de fruits proche serviront de combustible pour la chaudière. En cas de grand froid ou de problème d’approvisionnement, il sera possible d’y brûler du bois déchiqueté et une chaudière gaz est prévue en complément.

Les études et les essais ont été concluants. L’ensemble du réseau de chaleur reviendra à 860 000 euros HT. Avec un taux de subvention de 70 % par les aides publiques, selon les études, la commune réduira de 7 % ses factures de chauffage (actuellement gaz naturel) et les ménages de 28 % (par rapport au gaz naturel et aux consommations de 2006). En outre, les rejets de CO2 passeraient de 268 t/an à 12 t/an. Plus de 300 tonnes de noyaux sont déjà livrées et sèchent dans un ancien gymnase.

Aux Adrets, une plate-forme de stockage de copeaux de bois est à la disposition des habitants fortement incités à s’équiper de chauffage au bois. À Chanu (inscrit dans une démarche AUE), une chaudière bois et un réseau de chaleur sont prévus pour desservir les bâtiments communaux. Cela fait déjà 20 ans que la maison de retraite utilise cette énergie. Pour être sûr de disposer du bois sans dépouiller le bocage normand, une filière bois-énergie a été créée. Dans le Maine-et-Loire, le réseau de chaleur de la commune de Forges a déjà vu le jour. Il est alimenté par une chaudière bois de 150 kW destinée aux 29 habitations du lotissement. Le coût total (bâtiments, chaudière, réseau) revient à environ 400 000 euros HT pris en charge à hauteur de 70 % par des aides publiques (Europe, Région et État). Un abonnement de 376 euros TTC/an sera proposé aux particuliers (avec un compteur individuel) auquel il faudra ajouter 0,031 euro TTC du kW/h.

Éclairage public : explorer de nouvelles voies

Pas d’écohameaux sans réflexion sur l’éclairage public. Pour les installations déjà en place, les ampoules sont progressivement changées pour des solutions basse consommation, comme sur la commune de Thégra. Une manœuvre pas toujours la moins onéreuse, car il faut parfois changer le luminaire faute de compatibilité entre les matériels. Des nouvelles solutions s’offrent aujourd’hui aux collectivités : leds, candélabres solaires et/ou éoliens (qui ont en outre l’avantage d’éviter les tranchées)… Les communes pensent aussi à des « graduateurs », des détecteurs de présence, des minuteries (Les Adrets)… Beynat opte par exemple pour des projecteurs de 13 watts (les ampoules habituelles dépassent souvent les 150 watts) et des ampoules basse consommation.
Du chauffage à l’éclairage, il n’y a qu’un pas pour franchir une étape supplémentaire : la production d’énergie. Les panneaux photovoltaïques fleurissent sur les toits des écoles (705 m2 à Beynat) et des gymnases (2 000 m2 à Saint-Nolff). L’électricité est ensuite revendue à EDF. L’objectif de Saint-Nolff est d’être à terme autonome en matière énergétique, voire de produire plus que sa consommation, grâce à l’implantation prochaine d’une grande éolienne.

25 000 vers de terre par m2

L’eau est une autre préoccupation de ces villages. En Bretagne, certaines communes adhérentes de Bruded prévoient d’enfouir les cuves de récupération d’eau dans les parcelles des lotissements lors des travaux de voirie et réseaux divers. Elles seront ensuite rétrocédées lors de la vente des terrains. Les particuliers seront informés des possibilités de prévoir dans leur habitation des canalisations spécifiques pour utiliser l’eau de pluie pour les machines à laver et les toilettes.
À Thégra, le règlement du hameau prévoit l’installation d’une cuve d’un minimum de 500 litres par habitation pour une utilisation au jardin. L’eau de pluie est également réutilisée mais pour des usages publics comme l’arrosage. Cela s’est fait à peu de frais, puisque la commune réutilise tout simplement des anciennes citernes souterraines situées sous le presbytère et qui ont été dotées d’une petite pompe.
Tout est fait également pour que les eaux pluviales retournent progressivement vers la terre : pas de canalisations, peu de voies goudronnées, pas de busages excessifs et inutiles, mais des revêtements poreux (par exemple bitume dans les Adrets dont le liant est d’origine végétal), des noues et des fossés de faible profondeur où l’eau s’écoule à l’air libre. « Il faut minimiser la voirie afin de permettre à l’eau de retourner à la terre le plus naturellement possible », explique Thierry Aubin, maire de Chanu.
Côté petit coin, il n’est par contre pas toujours simple de sortir des cadres réglementaires habituels. La municipalité de Saint-Nolff a dû se battre pour alimenter un WC public en eau de pluie… Trop hors-norme pour la Direction départementale des Affaires Sanitaires et Sociales (Ddass) qui y voyait un problème sanitaire ! Les toilettes sèches commencent à coloniser les lieux publics (notamment les festivals). L’association Alterenergie (en Indre-et-Loire) en partenariat avec une entreprise du Sud de la France, a rendu possible leur utilisation permanente par les communes, grâce à une technique nouvelle rapportée d’Afrique du sud.7
L’assainissement des eaux est aussi un domaine où l’on innove. Depuis 2004, à Combaillaux (1 400 hab.) près de Montpellier, les eaux sont épurées dans une station expérimentale par des milliers de vers de terre (25 000 par m2) qui, en digérant les matières et oxygénant le substrat, facilitent le travail des bactéries. En Bretagne, une grande partie des communes de Bruded est équipée de systèmes lagunaires, (un procédé d’épuration naturelle qui utilise la végétation aquatique et les bactéries) ou encore de filtres à roseaux (moins courant). Quant aux budgets, cela dépend souvent du nombre d’habitants. La station lagunaire plantée de roseaux de Forges a coûté un peu plus de 100 000 euros HT (pour les besoins de 150 habitants) hors canalisations. Celle de Beynat, qui fonctionne depuis mars 2007 est revenue à 500 000 euros (pour 1 000 habitants et un village vacances). En Haute-Vienne, la commune de Bussière (960 hab.) dispose depuis un peu plus d’un an d’une station basée sur le principe des jardins filtrants (traitement des effluents via des bassins végétalisés) pour un coût de 350 000 euros TTC.


(1) AUE : l’approche environnementale de l’urbanisme donne aux élus la possibilité de choisir des orientations de qualité en matière d’urbanisme grâce à un travail partenarial local fort (Ademe, parcs naturels régionaux, DDE, CAUE…).
(2) Bruded : L’association Bruded, créée en 2005, par des communes rurales bretonnes engagées dans des projets de développement durable, promeut ce type de démarche, fait connaître des réalisations concrètes et contribue au partage des expériences dans ce domaine. Elle compte une centaine d’adhérents.
Site :
www.bruded.org
(3) Bateaux-taxi : 06 78 72 32 10.
(4) Site :
www.sellerie-baude.fr
(5) Cuma : coopérative d’utilisation de matériel agricole.
(6) Le Réseau des Recycleries & Ressourceries existe sous le statut associatif depuis le 26 septembre 2000 et ses adhérents respectent une charte commune. Pour en savoir plus :
www.recycleries-ressourceries.org
(7) Site : www.alternergies.org, toilettes sèches à cuve, fabriquées par l’entreprise Kazouba.

DATE : 01 Juillet 2009
AUTEUR : Lucile Vilboux
  Revue - n° 99
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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 16:53

La quasi-totalité des régions françaises a maintenant sélectionné les territoires qui bénéficieront de Leader (Axe 4 du FEADER) pour la période 2007-2013; seules manquent la Martinique et la Guadeloupe. Au total, ce sont 213 Groupes d'Action Locale (GAL) qui sont d'ores et déjà retenus, à comparer aux 140 GAL de la génération précédente. Cette augmentation du nombre de territoires Leader s'est accompagnée d'un renouvellement relativement important: les anciens GAL ne représentent en effet que 46% des GAL actuels. Une rapide analyse montre en outre que le choix français de privilégier des territoires organisés s'est bien traduit dans les faits : 68% des GAL concernent ainsi des pays (en totalité ou en partie) et 7% des PNR; si l'on ajoute les territoires Leader regroupant des Pays et/ou des PNR, au total ce sont 88% des GAL qui reposent sur des territoires organisés.
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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 16:26
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